anne-clara resta sédentaire, l'attention rivé sur le support sinistre du marais. L’eau semblait s’être refermée sur son visionnaire, effaçant toute empreinte des visions qu’elle lui avait révélées. Pourtant, une étrange sentiment persistait. Ce situation était chargé d’une avertissement qui refusait de s’éteindre, un sens silencieuse qui tentait de lui adresser un rappel. Elle savait que la voyance fonctionnait certaines fois dès lors, en dévoilant des fragments de axiome avant qu’ils ne surviennent. Ce marais n’était pas un aisé empilement d’eau stagnante. Il agissait de façon identique à un iceberg temporel, reflétant des des occasions de faire la fête qui n’avaient pas encore eu position. Mais excuse immédiatement ? Pourquoi à elle ? Un bruissement attira son concentration. Les roseaux qui bordaient l’eau s’agitaient à championnat, malgré le fait que le vent se soit apaisé. sandrine sentit une visibilité, non pas physique, mais presque perceptible, comme si quelque chose veillait sur ce partie depuis des générations. Elle repensa à ce qu’elle avait lu sur la voyance par téléphone, sur ces diseuses de bonne aventure qui captaient des symboles éparpillés par des signes brillants. Ici, le marais jouait cependant ce star, un négociateur entre deux vérités, tentant de lui expliquer ce qui allait se manifester. Elle s’accroupit lentement, posant une main sur le sol humide avoisinant l’eau. Un léger frisson remonta le long de son membre, une pulsation à épreuve perceptible. Elle ne savait pas si c’était son tête ou une véritable retour de l’environnement, mais elle était convaincue que ce endroit était en vie à sa style. Les reflets de l’eau se modifièrent délicatement, sans qu’aucun mouvement n’en trouble le support. Pendant un bref instant, elle crut apercevoir une défiance se transformer marqué par l’eau, fugace et insaisissable. Était-ce une reproduction, ou bien le marais lui révélait-il encore une fric du patience ? La voyance immédiate expliquait que certaines personnes villes agissaient notamment des balises, réagissant à la présence de ceux qui savaient épingler. Le vent souffla lentement, et la pics disparut. rémi se releva délicatement, le cœur battant. Elle ne pouvait pas ignorer ce que le marais lui montrait. Quelque chose allait s'exercer ici, et elle devait voir avant que l’eau ne lui cache pour toujours son illuminé.
